5 moyens pour améliorer la qualité de l’air dans son entreprise 

Nous sommes tous pleinement conscients aujourd’hui de l’importance de disposer d’un air sain dans nos espaces intérieurs. Au travail, cette quête peut représenter un défi, d’autant plus que les entreprises privilégient actuellement les open-spaces et reçoivent dans leurs locaux leurs clients, partenaires et prospects. Les bureaux représentent donc des lieux où l’on croise nombre de personnes, ce qui favorise les risques de contamination aéroportée. 

En outre, il faut savoir qu’un air purifié, ou du moins fréquemment renouvelé, a un impact positif sur la santé et la productivité des employés. Des espaces intérieurs non aérés recèlent de particules polluantes en suspension et de composés organiques volatils, ils sont propices à l’apparition de maux de tête pour leurs occupants ainsi qu’à une sensation de somnolence accrue et d’irritations des yeux. Sur le long terme, lorsque l’exposition aux polluants est trop régulière, des troubles respiratoires sont susceptibles de survenir. A l’inverse, un air assaini entretient l’impression d’éveil et favorise la concentration. 

C’est pourquoi il est essentiel de mettre à la disposition de ses employés des espaces de travail à l’air purifié et dénué de polluants de tous types. Mais quelles solutions mettre en place pour améliorer la qualité de l’air dans son entreprise ? Ci-dessous, nous vous détaillons cinq méthodes simples et efficaces pour permettre à vos collaborateurs de respirer à pleins poumons sur leur lieu de travail. 

infographie regroupant les 5 points clés pour améliorer la qualité de l'air d'une entreprise

La réduction des polluants, source d’amélioration de la qualité de l’air en entreprise 

Il a été démontré que l’air de nos espaces intérieurs est soumis à une pollution plus importante qu’à l’extérieur. En cause, les matériaux composant nos équipements et nos éléments de décoration, ainsi que les produits de nettoyage, les produits de désinfection et les innombrables parfums, huiles essentielles, etc.. En entreprise, les bureaux, imprimantes et photocopieurs, mais aussi les peintures murales et revêtements ou encore les produits d’entretien sont quelques exemples des origines de la pollution de l’air intérieur. Aussi, il est recommandé de laisser le matériel neuf à l’extérieur durant au moins un mois avant de l’installer dans les locaux. L’idéal est même de privilégier la seconde main dans la mesure du possible. Si vous avez besoin d’acheter du nouveau mobilier de bureau, sachez que le bois massif ne génère pas de polluants de l’air intérieur. Intéressant lorsque l’on sait que les meubles neufs classiques continuent de dégager du formaldéhyde plusieurs années après leur fabrication !

La ventilation, clé d’une qualité de l’air optimale 

Les bâtiments d’entreprise sont dotés de systèmes de ventilation et de filtration dédiés au renouvellement de l’air intérieur, défini par l’article R. 4222-6 du Code du Travail imposant un seuil minimal de 25 m³ par heure et par salarié. Ces systèmes font preuve d’une grande efficacité mais il convient de les entretenir, ce qui est malheureusement bien souvent oublié par les propriétaires des lieux. En effet, des résidus de polluants s’accumulent peu à peu dans les conduits de ventilation, c’est pourquoi il convient de faire procéder à leur nettoyage au moins une fois par an. Faire appel à une entreprise spécialisée vous permet de vous assurer que votre entreprise est dotée de gaines propres et saines. 

L’aération des bureaux, indispensable pour le renouvellement de l’air

Il est recommandé d’aérer son lieu de vie deux fois par jour, le matin et l’après-midi, afin de renouveler l’air intérieur. Ce principe s’adapte également aux espaces de travail, qu’ils soient situés en zone urbaine ou en environnement naturel. Deux aérations quotidiennes de dix minutes sont recommandées, à savoir le matin et en fin de journée. Si les fenêtres de votre entreprise ne s’ouvrent qu’en oscillo-battant, n’hésitez pas à aérer durant deux fois un quart d’heure afin d’améliorer la qualité de l’air. 

Les plantes d’intérieur dépolluantes pour contribuer à la qualité de l’air

Il est toujours plus agréable de travailler dans un bureau joliment décoré. Pour orner les espaces de travail, les plantes peuvent joindre l’utile à l’agréable en faisant bénéficier vos collaborateurs de leur potentiel dépolluant. Le lierre, le ficus benjamina, le chlorophytum, le sanseveria, le dracaena ou encore le philodendron en sont de parfaits exemples. Réparties dans l’entreprise, ces plantes contribuent à l’assainissement des espaces grâce à leur capacité à transformer les polluants en matière organique bénéfique pour elles-mêmes. Une belle excuse pour verdir vos espaces de travail sans modération ! 

plantes intérieures qui contribuent à améliorer la qualité de l'air

Le purificateur d’air, idéal pour fournir un air sain en continu

Certaines entreprises font le choix de se munir de purificateurs d’air pour équiper leurs bureaux. Contrairement à un ioniseur d’air qui n’offre qu’une solution partielle, un purificateur de qualité est doté d’un filtre HEPA14, pensé pour capturer 99,995% des particules de diamètre supérieur à 0,3 micron. Ces dispositifs d’amélioration de la qualité de l’air sont capables de traiter un certain volume d’air, aussi est-il pertinent de bien vous renseigner sur leurs capacités afin d’en installer suffisamment pour assainir l’ensemble des espaces. Chez Cricket, nous apportons une solution clé-en-main aux professionnels de tous les secteurs d’activités en leur fournissant la station de mesure de la qualité de l’air Cricket, conçue pour améliorer la qualité de l’air à travers des actions correctives à mettre en place, ainsi que son purificateur d’air associé, doté d’un filtre moléculaire et d’un HEPA14 adapté aux polluants les plus présents dans leurs espaces de travail. 

Le purificateur d’air vient en appui des autres actions. Si son filtre retient par exemple les particules fines, il n’agit pas sur la saturation d’un espace en CO2, aussi est-il complémentaire à l’ouverture des fenêtres. Il pallie au sous-dimensionnement, voire à l’inexistance, des ventilations lorsqu’aucune solution alternative n’est possible. La station Cricket, quant à elle, permet de rendre visible l’invisible et de qualifier les actions menées.